“On sait qu’il faut se digitaliser.”
“On sait que l’IA est là.”
“On sait que c’est le moment.”
Mais entre ce que la tech promet et ce que les dirigeants attendent réellement… il y a souvent un grand malentendu.
Aujourd’hui, la plupart des fondateurs et dirigeants de PME qu’on accompagne ne cherchent ni un outil miracle, ni un projet d’envergure.
Ils veulent juste travailler mieux.
→ Gagner du temps.
→ Éviter les erreurs.
→ Fluidifier les opérations.
→ Recentrer leur équipe sur ce qui compte.
Autrement dit : ils attendent de la tech qu’elle serve, pas qu’elle brille.
Et cette attente – simple, concrète, pragmatique – redéfinit profondément la façon dont on pense un projet digital.
La promesse ne suffit plus
Pendant des années, la tech a été perçue comme un moteur de croissance, d’automatisation, de compétitivité.
On parlait d’ERP, de CRM, de transformation digitale, d’API, d’architecture modulaire.
Mais aujourd’hui, dans les PME, la tension a changé de camp.
Ce que les dirigeants expriment, ce n’est pas “quels outils dois-je mettre en place ?”
C’est plutôt :
→ “Combien de temps ça va me prendre ?”
→ “Qui va vraiment l’utiliser dans mon équipe ?”
→ “Est-ce que ça va résoudre mon problème ou en créer un nouveau ?”
En clair : la promesse technologique ne suffit plus.
Ce qui compte, c’est l’impact immédiat, visible, et la simplicité du chemin.
Ce que disent les dirigeants qu’on accompagne
Chez Captive, on échange chaque semaine avec des fondateurs, CEO, COOs ou directeurs produits.
Des personnes impliquées, lucides, et souvent fatiguées par les projets tech qui s’éternisent.
Voici ce qu’on entend régulièrement :
- “Je veux que mes équipes perdent moins de temps, pas qu’elles apprennent un nouvel outil.”
- “Je veux que ce soit fluide. Je veux pouvoir l’expliquer en 2 phrases.”
- “Je n’ai pas d’équipe tech interne. Il faut que ce soit clair, solide et que ça tienne tout seul.”
- “Je ne veux pas une usine à gaz. Je veux un système qui m’aide.”
Ce sont des phrases simples. Et pourtant, elles redéfinissent toute la manière dont on aborde la technologie dans une PME.
Ce que ça change dans la manière de concevoir un projet tech
Dans un environnement où les ressources sont comptées, les priorités doivent être claires.
Et la technologie ne peut plus être un sujet à part. Elle doit être au service d’un objectif métier précis.
Voici ce que ça implique :
- Ne pas surdimensionner le projet
- Privilégier l’usage réel à la puissance théorique
- Ne pas chercher à “faire de l’IA”
- Accepter que la bonne solution n’est pas toujours la plus complète
👉 La bonne tech, c’est celle qui disparaît dans l’usage.
Ce que ça implique pour nous, côté accompagnement
Chez Captive, on ne vend pas de technologie pour elle-même.
On accompagne des dirigeants qui veulent aller vite, bien, et de manière soutenable.
Cela implique de :
- Cadrer un périmètre clair, maîtrisable, utile
- Choisir la bonne brique, même si elle ne fait “pas tout”
- Ne pas parler d’outils trop tôt
- Assurer la transmission → que l’équipe prenne le relais facilement
- Évaluer vite l’impact : “est-ce que ça vous a réellement simplifié la vie ?”
Notre job, ce n’est pas de livrer un outil.
C’est de créer un résultat opérationnel fluide, assumé, durable.
Conclusion : et vous, qu’attendez-vous vraiment de la tech ?
Si vous êtes dirigeant, la bonne question n’est peut-être pas “quelle solution choisir ?”
Mais plutôt : “quel problème je veux vraiment régler, ici et maintenant ?”
C’est à partir de cette question qu’un projet tech devient une bonne décision.
Et que l’IA, l’automatisation ou un outil sur-mesure deviennent des accélérateurs utiles, pas des complications de plus.
Pour aller plus loin
Captive accompagne des dirigeants de PME et de scale-ups pour cadrer et concrétiser des projets tech simples, utiles et fluides.
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